Ce mois-ci, le sénat a publié un rapport sur la « fiscalité comportementale », comprendre les taxes sur la consommation de produits non-approuvés par l’état-nounou, en particulier 3 produits qui sont mis en avant : le tabac, l’alcool et les aliments gras. L’étude tente de dresser un état des lieux des différentes taxes existantes, leur efficacité ainsi que le poids de ces différents comportements sur la santé et les finances publiques.
Une des premières conclusions, sur laquelle ils ont beaucoup insisté, est que le terme de « fiscalité comportementale » devrait être abandonné au profit de « contribution de santé publique ». C’est une idée assez récurrente chez les politiques, surtout dans une période où les français sont devenus très sensibles aux niveaux des impôts. C’est un habile jeu de mot puisque lorsque l’on parle de « fiscalité comportementale » il y a dans l’idée de punir certaines actions, alors qu’une « contribution de santé publique » a des notes joyeuses de soutien à un édifice commun. Ne nous trompons pas : il ne s’agit que d’un changement de termes, au final c’est bien de l’argent qui est prélevé pour corriger les comportements que l’état défini comme déviants.
J’aurais un désaccord de fond à exprimer vis-à-vis du concept même de fiscalité comportementale. Leur justification est que certains comportements à risques, comme fumer ou boire de l’alcool, ont un impact direct sur les finances publiques et doivent donc être taxés pour financer ce surcoût. Le rôle de la santé publique est pourtant d’assurer quelque soit le risque et d’en mutualiser les coûts ! Va-t-on faire payer son opération à un accidenté de la route parce qu’il a été imprudent au volant ? Non. Alors pourquoi faire payer (indirectement) aux fumeurs, buveurs et gros mangeurs leurs excès ?
D’ailleurs, pourquoi est-ce que seuls les alcools, tabacs et produits gras sont concernés ? Pourquoi est-ce que toutes les conduites à risques ne le sont pas ? Il y a des milliers de morts chaque année sur les routes, pourquoi ne pas taxer les voitures à hauteur du surcoût engendré pour la sécurité sociale ? Et à l’inverse, pourquoi interdit-on d’autres substances comme le cannabis au nom de la santé publique, alors qu’il suffirait de taxer ?
C’est parce que la loi est, et a toujours été, l’instrument des politiques pour nous imposer un certain style de vie, certains choix moraux. Le rapport établit d’ailleurs un calcul intéressant pour connaître le coût final de chaque substance pour la collectivité : entre les impôts collectés, les coûts de santé directs, ce que la personne ne paiera pas en impôts à cause de son décès prématuré ainsi que ce qu’elle ne coûtera pas en retraite pour la même raison. Sans surprise, tabacs et aliments gras sont un poids réel pour les finances publiques, malgré les (parfois lourdes) taxes associées. Par contre, l’alcool est une source de revenus pour l’état. Car, n’oublions pas qu’un alcoolique, avec son espérance de vie réduite, ne touchera que peu voire pas de retraite. La justification du coût public ne tient pas pour l’alcool. Ce n’est pas une politique de santé publique, c’est une politique moraliste : l’état-nounou décide de ce qui est bon pour toi.
Pour finir, il est intéressant de noter que cette étude n’est pas partisane, car elle a été menée par Yves Daudigny, sénateur PS et Catherine Deroche, sénatrice UMP. Les deux principaux partis savent montrer leurs différences sur des sujets médiatiques, mais lorsqu’il s’agit d’imposer des valeurs morales, de taxation de « comportements déviants » et d’inventer des termes farfelus pour ne pas parler de taxe, ils marchent (pour changer) main dans la main.
Le monde actuel est en crise, il n’est pas nécessaire d’être un expert en géopolitique ou côtoyer d’éminentes personnes comme des escort Paris pour s’en rendre compte. De nombreux spécialistes se penchent sur les sujets les plus intéressants, des bloggeurs relaient les informations, la population en discute et les escorts y assistent, les crises qui frappent l’Europe sont multiples et à différents niveaux. L’Union Européenne et sa souveraineté a de nombreuses fois été au centre de sujets assez embarrassants. Mis à part les différents conflits d’intérêts, il y a des problèmes qui sont de si grandes envergures que l’on ne peut les ignorer.
Depuis l’escort Paris au puissant homme d’affaires, la crise italienne est connue de tout le monde. En effet, la crise bancaire italienne affecte considérablement sa politique intérieure. Comme les actions improductives au sein du système bancaire italien prennent une place conséquente, il est compréhensible que cela ait des répercussions auprès de l’Autorité Bancaire Européenne. Le problème n’est pas au niveau de la population ! Quelle que soit les fonctions, enseignants, escorts de 6annonce ou bureaucrates, la population n’est pas à blâmer étant donné que le problème se situe à un plus haut niveau. La situation des banques italiennes semble douteuse et cela ne joue pas en leur faveur. Indéniablement, si la banque centrale européenne venait au secours de l’Italie, cela se passera bien entendu au détriment de tous les pays membres de l’Union Européenne. De plus, cela serait passé comme une injustice étant donné que la Grèce a déjà l’austérité forcée et que l’Allemagne se voit mal faire de telles concessions pour un autre pays.
L’année 2017 a été marquée par une baisse des exportations allemandes. Selon les statistiques de la Banque Mondiale, le ratio entre les exportations et la Production Intérieure Brute de l’Allemagne est de seulement 46,8 %. Que ce soient les escort Paris, les professionnels en Europe ou en Allemagne, tous sont soumis à l’effroyable vérité ; l’Allemagne survit actuellement parce qu’elle a augmenté ses exportations vers le Royaume-Uni et les États-Unis d’Amérique. L’Union Européenne telle que les escorts la connaissent se trouve être dépendante du premier exportateur qui est l’Allemagne. La situation économique de l’Allemagne met donc à mal de l’Union et aboutit à une relation politique assez inhabituelle avec les autres pays membres. Les lois de l’offre et de la demande impliquant l’économie allemande sont devenues de plus en plus tendues, surtout après la crise financière de 2008.
La sécurité a été, et sera toujours, un problème pour l’union Européenne. Cela n’a bien entendu rien d’étonnant étant donné que les intérêts des pays membres sont tout à fait divergents. Si l’on ne parle que du problème des réfugiés, on peut admettre que tout le monde est impliqué, escorts, politiques, mannequins et autres. Si certains pays sont pays sont préoccupés par la situation, d’autres sont assez perdus par l’absence d’un plan universellement acceptable. Il y a aussi le problème de l’Europe de l’Est. En effet, au cours des dernières années, la Russie s’est montrée un peu plus agressive. Ce qui ne rassure pas bien entendu les pays de l’Europe de l’Est, alors que les pays de l’Ouest sont plus concentrés sur d’autres problèmes comme le terrorisme islamique.
La cohésion des pays membres de l’union européenne est aussi influencée par l’appartenance de ces derniers à l’OTAN. Depuis les changements instaurés par Donald Trump en Amérique, des répercussions sur les économiques et politiques se font nettement ressentir.
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